Don, ham. de 230 hab., le plus important de la com. de Vieu, à env. 1600 m. S. du ch. L., sur le chemin de G. C. n° 31, du Pont de la Balme à Dortan, et le chemin d’I. C. n° 19, de Conzieu à Brénaz. Ce ham. n’est qu’à 600 m. du bourg d’Artemare. Station des chemins de fer E. S. E., ligne de Virieu-le-Grand à Ruffieu, entre celles d’Artemare-ville et de Vieu. Près de là coule l’Arvière dans des gorges étroites et profondes d’env. 40 m. Ancienne chapelle (N.-D. de Populo) dont l’emplacement est marqué par un monument. Don (le), montagne de 900 m. d’altitude, au N. du lac de Nantua, sur le territ. de Montréal. Donalèche, ham. de 50 hab. de la com. de Cuzieu, à env. 500 m. du bourg. Donchet, ham. de la com. de St-Maurice-de-Gourdans. V. Zonchet. Donchet (le), ferme sur la com. de Montagnat, à env. 800 m. O. du ch. l. Donier (le), ham. de 70 hab. de la com. de St-Maurice-de-Gourdans, à env. 200 m. O. du bourg. Don-Roulet, grotte curieuse à 1600 m. d’altitude, sur le territ. de Chézery. Donsonnas, ham. de 40 hab. de la com. de la Tranclière, à env. 2 k. S. E. du ch. l. Dorat (le), bois communal de 34 hect. sur le territ. de Chaley. Doray (le), bois communal de 13 hect., territ. de Druillat, section de Turgon. Doray (le), bois communal de 5 hect., territ. de Neuville-sur-Ain, section de St-André. Doret (le), bois communal de 8 hect., territ. de St-Martin-du-Mont, section de Confranchette. Dorches, ham. de 70 hab. de la com. de Chanay, à env. 1200 m. S. du ch. l., près du ruisseau du même nom et du chemin de G. C. n° 25, de Seyssel à Châtillon-de-Michaille. – Ancienne paroisse et ancienne ville avec château fort possédée au XIIe. siècle par les de Balmay qui, plus tard, prirent le nom du seigneur de Dorches. La seigneurie appartint ensuite et successivement aux familles de Livron, de Châtillon, Vignod, de Surjoux. Dorches, ruisseau afft de dr. du Rhône, cours de 7 à 8 k., source sur le territ. de Corbonod, sur les pentes orientales de la chaîne du Colombier ; coule d’abord du S. O. au N. E. puis de l’O. à l’E. en formant, dans cette dernière partie, la limite entre les com. de Chanay et de Corbonod. Avant de se jeter dans le Rhône, la Dorches forme une belle cascade qui, avec les ruines d’un château féodal tout près, présentent un très joli paysage. La Dorches a un afft de g., le Biez de la Frache, venant de la Combe à la Done. Dorches (la), moulin sur le territ. de Corbonod, à env. 5 k. N. du bourg. Dorier (le), ham. de 70 hab. de la com. de Massieu, à env. 600 m. E. du ch. l. Dormieux, ham. de 50 hab. de la com. de Briord, près du Rhône, à env. 4 k. S. E. du bourg. DORTAN, com. du cant. d’Oyonnax (8 k.) arrt de Nantua (24 k.). à 50 k. de Bourg. 1143 hab. B. P. T. t. – Percept. Gend. à Oyonnax. – Gare à Dortan-Lavancia, 1700 m. E. du ch. l. – Ecoles primaires de garçons et de filles et école enfantine au ch. l., école mixte au ham. de Bonaz. Le territ. est situé à la frontière du dépt du Jura, limité au N. par la Bienne sur une longueur de 7 k. et à l’O. par l’Ain sur 4 k. Il est en outre arrosé par le Merdançon, afft de la Bienne qui vient d’Arbent et se grossit sur la com. des sources du parc de Dortan et du ruisseau de Maissiat ou Merloz. Le bourg, agglomération de 758 hab., est à 300 m. de la Bienne, au point d’arrivée du chemin de G. C. n° 31, venant du Pont de la Balme par La Cluse et Oyonnax. Il est desservi également par le chemin de G. C. n° 11, de St-Rambert à la gare de Dortan-Lavancia. Les ham. portent les noms de Bonaz, Emondeau, Maissiat, Sinissiat, Uffel, Vouais. Les habitations et fermes isolées s’appellent : la Croix de Rhiem, la Doye, les Merciers, Pont de Vouais, Salazard, Sur les Champs, Véraz. La superficie est de 1892 hect. dont 433 de terres lab., 260 de prés, 470 de pâturages, 7 de vignes, 1 de jardins, 1 de cultures maraîchères, 65 de landes, 560 de bois. La récolte annuelle moyenne est d’à peu près 700 x de blé, 200 x d’orge, 200 x de sarrasin, 100 x de maïs, 100 x d’avoine, un peu de lentilles et de pois, 2000 x de p. de terre, 6000 x de foin, 200 hectol. de vin. On trouve un grand nombre de noyers, pommiers, poiriers et pruniers. On compte env. 26 chevaux, 7 taureaux, 50 bœufs, 105 vaches, 110 élèves bovins, 8 béliers, 25 brebis, 65 moutons, 40 agneaux, 10 porcs, 10 chèvres. Dortan est le centre industriel pour la fabrication des objets de tournerie sur bois dits articles de St-Claude : robinets, poivrières, cuillers à moutarde, etc. ; c’est un port d’embarquement sur la Bienne des bois de sapins flottés des montagnes d’Arbent et aussi de Viry (Jura) ; 3 petits moulins à blé, 3 scieries et 7 tourneries reçoivent la force motrice du Merdançon. Il y a marché hebdomadaire le jeudi et six foires chaque année, les 10 mars, 26 avril, lundi après le 24 juin, 8 août, 9 septembre, 11 novembre. On trouve : 2 bouchers, 2 boulangers, 1 bourrelier, 8 cafetiers, 3 camionneurs, 3 coiffeurs, 9 épiciers, 1 ferblantier, 2 hôtels, 1 entrepreneur de maçonnerie, 5 menuisiers, 3 modistes, 1 quincailler, 1 tailleur, 3 mds de tissus, 14 tourneurs sur bois, 1 fabricant d’étuis postaux et de blocs perforés, 1 fabricant de vannerie d’emballage, 2 mds de vins en gros, 2 loueurs de voitures. La seigneurie de Dortan fut possédée dès la fin du XIIe. siècle par des seigneurs du nom et resta dans leur famille jusqu’en 1720 pour passer ensuite et successivement aux familles Gauthier et de Fleurieu. Le château maltraité pendant la Révolution, est encore très beau et très intéressant, il est près du bourg, entouré d’un parc immense et splendide, possédant des sources abondantes qui donnent naissance à plusieurs forts ruisseaux allant se jeter dans le Merdançon. Dortan-Lavencia, station des chemins de fer P.-L.-M., à la limite N. du dépt de l’Ain, sur la ligne de La Cluse à St-Claude, entre les stations d’Arbent (5 k.) et de Jeure-Vaux (Jura, 6 k.). La com. de Lavancia qui donne son nom à la gare appartient au dépt du Jura. Dorvan, ham. de 25 hab. de la com. de Torcieu, à env. 4 k. S. E. du ch. l. Douai, grangeon sur le territ. de la com. d’Argis, à env. 1 k. N. du bourg. Douai (la), nom donné au cours supérieur du petit ruisseau du Moulin, territ. de Lompnes. Douanes. Le dépt de l’Ain étant un dépt frontière, possède un service des douanes, service qui comprend à Bellegarde un inspecteur, un sous-inspecteur, un receveur principal, 2 contrôleurs, 5 vérificateurs, 5 vérificateurs adjoints, 6 commis principaux, 6 commis. Des receveurs sont installés à Pont de Bellegarde, Mijoux, Forens, Gigny, Injoux, le Parc, St-Germain-de-Joux, Seyssel, Pont de Comfort. Le pays de Gex incorporé à la France, par le traité de 1601, en est séparé par les plus hautes cimes du Jura, il ne possédait à cette époque que très peu de moyens de communication avec le reste de la France ; aussi, sur la demande des habitants, Henri IV leu accorda des franchises commerciales en 1604, ces franchises furent supprimées puis rétablies en 1724, supprimées une seconde fois et rétablies en 1775, c’est à cette époque que la ligne des douanes fut reportée entre le pays de Gex et le reste de la France formant ainsi une zône neutre ou zône franche (V. ce mot). Cette zône supprimée en 1790 fut de nouveau rétablie par le traité de Paris du 20 novembre 1815. Comme les habitants, dans cette zône, peuvent expédier dans le reste de la France, en franchise de douane, certains objets et produits du pays, le service des douanes exerce une certaine surveillance et un vérificateur, assisté d’un commis, résident à Gex, Collonges et Chézery. Le service actif des douanes comprend de nombreux agents sous les ordres de 3 capitaines résidant à Châtillon-de-Michaille, St-Germain-de-Joux, le Parc, et 8 lieutenants ayant leur résidence à Bellegarde, Belleydoux, Châtillon-de-Michaille, Injoux, Chanay, Seyssel, Lélex, Forens. Doucet, petit ham. sur la com. de Montrevel, à env. 1 k. N. O. du ch. l. Douvre (le), petit ham. de la com. de Cuisiat, à env. 4 k. O. du ch. l. DOUVRES, com. du cant. d’Ambérieu-en-Bugey (5 k.), arrt de Belley (51 k.), à 28 k. de Bourg, 317 hab. – t – P. Percept. à Ambronay. – Gend. à Ambérieu-en-Bugey. – Gare P.-L.-M. à Ambronay-Priay, 3 k. – Gare E. S. E. sur la ligne d’Ambérieu à Cerdon, entre la halte du Chemin-Neuf et la station d’Ambronay (E. S. E.). – Ecole mixte. Petit territ. adossé à la montagne, on y trouve treize ham., celui de la Babilière au centre est le ch. l. avec la mairie, l’école et l’église. Les autres ham. portent les noms de Charbonnaz, le Château, Cozance, Malacour, la Mane, l’Ouille, Reilleux, St-Denys, St-Pierre, Siloup, Tuilier, Varambier. La ligne des chemins de fer E. S. E. d’Ambérieu-Cerdon suit le chemin de G. C. n° 36, de Neuville-sur-Ain à Virieu-le-Grand par Ambérieu, chemin qui limite la com. à l’O., la station est à env. 1200 m. du ch. l. La com. est arrosée par le Seymard, qui passe au ch. l., et son afft le Nantay coupant le coin S. O. du territ. La superficie est de 526 hect. dont 212 de terres lab., 120 de prés, 18 de pâturages, 50 de vignes, 10 de landes, et 100 de bois. La récolte annuelle est en année moyenne de 1500 x de blé, 800 x d’avoine, un peu de maïs, 800 x de p. de terre, 500 x de betteraves f., 500 x de fourrages art., 4500 x de foin, 1800 hectol. de vin. On trouve quelques châtaigniers et d’assez nombreux pommiers, poiriers, noyers, pêchers, pruniers. La com. possède env. 16 chevaux, 6 ânes, 1 taureau, 4 bœufs, 110 vaches, 35 élèves bovins, 10 brebis, 5 moutons, 10 agneaux, 20 porcs, 3 chèvres. Le commerce est presque nul, les hab. vendent l’excédent de leur récolte. 3 aubergistes, 3 épiciers, 3 menuisiers. L’industrie ne comprend que 3 petits moulins à blé, de chacun une paire de meule, exploités par leurs propriétaires. Au XIIIe. siècle, des seigneurs du nom possèdaient le château de Douvres, dans la suite il passa successivement aux familles d’Oncieu, de Moyria, d’Angeville, Montagnat. De ce château, il reste une tour assez bien conservée et des ruines informes. Doux (la), petit ruisseau afft de dr. du Séran, sur le territ. de Luthézieu. Douze (la), étang sur le territ. de Chalamont. Douze (les), petit ham. de la com. de St-Jean-de-Thurigneux, à env. 1500 m. N. E. du bourg, sur le chemin de G. C. n° 6, de Lapeyrouse à St-Bernard par Trévoux. Doye (la), petit ruisseau du territ. de Condamine-la-Doye, très poissonneux, source importante donnant un mètre cube d’eau par seconde ; se jette dans la Veyle après un cours de 2 k. env. Se grossit du Biez de Gour. Doye (la), petit ruisseau sur le territ. de Cuisiat, appelé aussi Bief du Vernais. C’est le commencement du Bief d’Ausson, il faisait autrefois tourner des moulins aujourd’hui abandonnés. Doye (la), ferme sur la com. de Dortan, à env. 1 k. S. E. du bourg. Doye (la), ferme sur la com. d’Echallon, à env. 2 k. N. O. du ch. l. Doye (la), ruisseau sur le territ. des Neyrolles, sortant d’un bas-fond, au pied occidental d’un petit monticule qui se trouve à la tête du lac de Sylans ; on dit même que ce ruisseau est un émissaire souterrain de ce lac. Par sa réunion avec le Nant, descendant en cascade du plateau de Coillard, il forme le Merloz qui arrose Nantua. Doye (Grande et Petite), deux sources sur le territ. d’Outriaz ; leur réunion forme le Flon ou Felon, afft de dr. du Borrey. Drenouilles, petit ham. de la com. de Chevroux, à env. 2500 m. E. du bourg. Drilleret (le), ferme sur la com. de Birieux à env. 2500 m. S. du ch. l., près du chemin de G. C. n° 2, de Montluel à Varennes-St-Sauveur. Drognin, ham. de la com. de Parves, à env. 300 m. E. du bourg. Droguistes. D’après le recensement officiel des professions, il y aurait dans le dépt de l’Ain 15 personnes exerçant le métier de droguistes. Droizelle, ham. de 75 hab. de la com. de Foissiat, à env. 2500 m. N. du ch. l. DROM, com. du cant. de Ceyzériat (10 k.), arrt de Bourg (14 k.). – t – 327 hab. P. et Gare à Villereversure 7 k. – Percept. et Gend. à Ceyzériat. – Ecole primaire de garçons. Le territ. est situé dans une cuvette à l’altitude de 291 m. dans le fond, entre le mont Charvet à l’O. (446 m.) et le mont Grenier à l’E. (443 m.) Le chemin d’I. C. n° 31, de Poncin à Drom, passe au bourg dans le fond de la cuvette pour aboutir au N. sur l’embt du chemin d’I. C. n° 9, de Gd-Corent au ham. de France ; ces deux chemins réunis rejoignent le chemin de G. C. n° 18, de Bourg à Nantua par Thoirette, qui traverse le coin N. E. du territ. de Drom. Aucun ruisseau n’arrose ce territ., la localité est même dépourvue d’eau en cas de sècheresse, alors les pompes ne sont ouvertes qu’une heure par jour. Un bassin souterrain, dans lequel on a pu descendre et naviguer sur un radeau, déborde parfois et inonde le village. En 1856 on a creusé un canal, souterrain aussi, de 960 m. de longueur, destiné à verser au Suran le trop plein de ce bassin. Les hab. sont presque tous propriétaires et groupés au bourg, il n’y a qu’une habitation isolée, le Four à chaux. La superficie est de 778 hect. dont 350 de terres lab., 60 de prés, 135 de pâturages, 3 de jardins, 15 de vignes, 50 de landes, 150 de bois. La récolte moyenne annuelle est d’env. 800 x de blé, 200 x d’avoine, 300 x de maïs, 1000 x de p. de terre, 300 x de betteraves f., 2000 x de fourrages art., 1200 x de foin, un peu de haricots et de chanvre, 500 hectol. de vin. On compte env. 6 chevaux, 2 ânes, 15 taureaux, 110 bœufs, 120 vaches, 60 élèves bovins, 2 béliers, 15 brebis, 6 moutons, 15 agneaux, 50 porcs, 6 chèvres. La com. fait peu de commerce, les cultivateurs conduisent au marché de Bourg l’excédent de leur production. Comme industrie on trouve une fromagerie et l’extraction de la pierre qui occupe une douzaine d’ouvriers. Druard, château et ferme sur la com. de Géovreisset, à env. 300 m. S. E. du bourg, à 685 m. d’altitude. Druget, ferme sur la com. de Champfromier, à env. 2500 m. du ch. l. DRUILLAT, com. du cant. de Pont-d’Ain (3 k.), arrt de Bourg (19 k.). 995 hab. P. T. Gend. Percept. et Gare à Pont-d’Ain. – Ecoles primaires de garçons et de filles au ch. l. Ecole mixte au ham. du Roset. Le territ. est assis entre le mt Margueron (377 m.), le point le plus élevé de la Côtière, à l’O. et les déclivités du Revermont à l’E. au milieu de jolis paysages. Il est arrosé par le Suran qui forme la limite à l’E. et par le Druillat, venant de Varambon, contournant le mt Margueron pour finir dans le Suran au N. du bourg. Ce dernier compte 240 hab., il est un peu en dehors des chemins. Dans la partie S. E. du territ. passe la route nle n° 84, de Lyon à Genève par Pont-d’Ain et Nantua ; dans la partie N. E. se trouve la route nle n° 75, de Chalon-sur-Saône à Sisteron par Bourg, Pont-d’Ain et Ambérieu ainsi que le chemin de G. C. n° 17, de Pont-d’Ain à Belleville, chemin qui forme la limite N. de la com. de Druillat. Les ham. de cette com. portent les noms de : Claretières, Cruix, Maspommier, Montbègue, la Planche, le Roset, les Rosettes (Basses et Hautes), la Ruas et Turgon. Les fermes ou habitations isolées s’appellent : Bègue, le Temple, le château de Pré Long et le moulin de Pont de Suran. La population est composée en majeure partie de petits propriétaires. La superficie est de 2072 hect. dont 775 de terres lab., 250 de prés, 5 d’herbages, 40 de pâturages, 35 de vignes, 2 de jardins, 50 de landes et 850 de bois. La récolte moyenne annuelle est d’à peu près 4000 x de blé, 100 x de sarrasin, 500 x de maïs, 500 x d’avoine, un peu de seigle, pois, fèves, colza, 4200 x de p. de terre, 3000 x de betteraves f., 12000 x de fourrages art., 6500 x de foin, 1000 hectol. de vin. On trouve quelques noyers, pêchers, pommiers et poiriers. On compte env. 50 chevaux, 9 ânes, 15 taureaux, 80 bœufs, 400 vaches, 460 élèves bovins, 3 béliers, 50 brebis, 100 agneaux, 250 porcs, 80 chèvres. La com. est essentiellement agricole, elle ne fait pas de commerce spécial et a pour industrie trois petits moulins à blé. Autrefois la cure était à la nomination de l’abbé d’Ambronay. Druillet (le), ham. commun aux com. de St-Cyr-sur-Menthon, 55 hab. et à 2500 m. S. O. du bourg, et de St-Jean-sur-Veyle, 30 hab. et à 2 k. N. E. du bourg. Drus, ferme sur la com. de Châtenay, à env. 2500 m. du ch. l. Drus (les), ferme sur la com. de St-Georges-sur-Renom, à env. 1 k. E. du bourg. Dubois, ferme, maison et étang de 9 hect. ½, sur le territ. de la com. du Plantay, à env. 2700 m. N. du bourg. Dubreuil, ferme sur la com. de Bouvent, à env. 1 k. N. E. du ch. l., actuellement inhabitée. Dubry, partie du ch. l. de la com. de Civrieux. Duchêne, étang sur le territ. de Bouligneux. Ducs (les), petit ham. de la com. de St-Julien-sur-Veyle, à env. 1 k. E. du bourg. Dugads (les), petit ham. de la com. de Cras-sur-Reyssouze, à env. 1500 N. du ch. l. Durand (le), quartier du ch. l. de la com. de Bressolles. Durand, fontaine sur le territ. de Volognat, à 1200 m. O. du bourg, source du bief de Nurieux. Durandière (la), petit ham. et château sur la com. de St-Sorlin, à env. 800 m. S. du ch. l. Duret, ferme sur la com. de St-Eloi, à env. 1200 m. S. O. du bourg. Durlande, petit ham. de la com. de St-Etienne-du-Bois, à env. 4800 m. S. du ch. l., sur la route nle n° 83, de Lyon à Strasbourg par Bourg et St-Etienne-du-Bois. – Ecole mixte. Durlande (la), ruisseau afft de g. du Sevron, source à l’étang de la Renardière dans les bois de Tharlet, territ. de Meillonnas, sépare les com. de St-Etienne-du-Bois et de Viriat, coupe la partie N. du territ. de cette dernière et entre dans celui de Marboz où est situé son confluent. Cours d’env. 21 k. Se grossit à g. du Bief de Malaval. Durlet (le), ruisseau afft de dr. du Suran, source sur Varambon et confluent sur Druillat ; cours de 6 à 7 k. Reçoit à g. le Bief de la Voirie. Durlet (le), petit afft de dr. de l’Ain, cours de 3 à 4 k. sur le territ. de Priay. On l’appelle aussi Petit Durlet. Duvachat, ferme sur la com. d’Andert-Condon, à env. 2800 m. S. du ch. l., sur le plateau, à dr. du Furans.